Petit chef d'oeuvre de la filmographie sado maso et particulièrement du bondage. Erotisme mental, esthétisme suprême du cinéma japonais. Réalisé en 1974 il ressort enfin sur nos écrans - seulement trente ans de retard -.
Très excitant avec une interprétation de Naomi Tani exceptionnelle, peau laiteuse à souhait, sublimes rougeurs sous les cordes. Initiation aux plaisirs plus qu'interdits, le sexe poussé à son paroxysme. Influence très sadienne.
Transcendation. Frustration. Fantasmes. Perversité et sadisme ataraxiques.
La suppliciée soumise est-elle réellement la seule prisonnière de cette cage sado maso ?
Eaux troubles d'un esprit, exaltation d'un corps en souffrance, plaisirs, déplaisirs. Baise barbare, subtile ou initiation "vulgaire" de l'amour.
La pure victime "apparente" sombre dans la perversité avec délice prenant discrètement le chemin de la domination.
Quels sont réellement les liens du bondage ?
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